C’est en septembre 2011 que Valérie Maho a commencé ses premiers pochoirs en voyant l'artiste Sara Chelou à l'oeuvre lors de l'exposition Sauvons la Jarry à Vincennes.

 

Elle sest d'abord illustrée avec des visages anonymes, pour s'intéresser ensuite à des icônes vintages. La matière est importante dans son travail. Elle aime la transformer : la ville devient alors un fond, les toiles prennent des airs de murs auxquels s'joutent quelques motifs géométriques empruntés à l'art cinétique. C'est en travaillant différents niveaux d'ombres qu'elle compose ses portraits. Elle utilise pour cela l'aérosol, le pinceau et parfois le couteau. 

 

Ses peintures ont été présentées aux cours d'expositions, festivals et événements. Dans la rue, on peut les retrouver sur les murs de Paris, Barcelone, Tanger, Dubrovnik, Los Angeles, São Paulo, Mejico, ou encore dans le quartier de Shoreditch à Londres.